Ce cher Patatovitch me propose de jouer la campagne du Sang de Sigmar pour se changer les idées.
Son rapport de bataille est bien plus élaboré que le mien.
Je me lance dans la fabrication de décors pour l'occasion (à venir)
La battue de minuit
Les fils de Sigmar ont été recrutés parmi des marines du Nordland et les Balles d'Argent viennent de Nuln comme le canon le Marteau à Sorcières. Le chevaliers du Soleil et le répurgateur Alberich Von Korden viennent de la collection de mon adversaire, tout comme l'armée des comtes Vampires.
Les fils de Sigmar se placent de manière à courir vers la tour pour allumer le fanal. Le reste de l'armée se positionne de manière à meurtir les morts vivants. Les festoyeurs du crépuscule se tiennent prêtes à tituber vers les épéistes alors que la meute funeste gronde sourdement ; les montures des chevaliers laissent présager un succulent festin. Les rôdeurs de Koningstein de mettent en rang derrière eux. Heman Ghorst décide de s'abriter derrière un mausolée : ce canon a l'air bien impressionnant (il ne le fût pas).
Les fils de Sigmar se précipitent vers la tour. Les chevaliers du soleil chargent les loups décrépits.
Les Balles d'Argent criblent les festoyeurs.
Bien qu'un chevalier vide les étriers, les loups sont annihilés. La charge irrépressible des chevaliers les amène au contact des rôdeurs.
Gohrst active son armée à l'aide de la danse macabre de Vanhel et se positionne de manière à pouvoir charger le flanc des chevaliers (il rate sa charge).
Les goules ne parviennent pas à contacter les épéistes. Ils pourront bientôt se réfugier dans la tour et prévenir l'Empire.
Gohrst charge le flanc des chevaliers. Mal lui en pris ! Il ne parvient pas à faire suffisamment de pertes et les chevaliers, débarrassés des rôdeurs, se reforment pour lui faire face.
Les épéistes affrontent les goules à l'abri dans la tour.
Von Korden se dit qu'il pourrait participer à la curée et presse les arquebusiers vers l'avant.
Luca Silvera, le musicien, décapite Gohrst d'un vif coup d'épée. Les morts-vivants tombent en miettes.
Victoire éclatante de l'Empire. Seule l'explosion du canon les privent de la victoire parfaite. (J'en ai peu parlé. Il a raté, raté, été empêché de tirer, explosé).
Le concile des lames
Le grand théogoniste Volkmar a rassemblé des troupes. (Ici, j'ai pris une photo de la ligne de bataille impériale avec mon grand théogoniste, mais non avons joués avec celui de Patatovitch).
Les loups funestes et Mannfred menacent le flanc gauche de l'armée à grands coups de danse macabre. Résignés, les flagellants pivotent pour faire face. Un fiasco de Mannfred coûte la vie à Gohrst. Mannfred trouve malin d'invoquer un soleil violet de Xereus.
La charge des flagellants pouilleux parvient, incroyablement, à blesser Mannfred. Après les attentions de l'archidiacre Kaslain, il ne lui reste qu'un point de vie.Toute l'armée s'éloigne du champ de tir du canon (la ligne Mannfred). Le grand théogoniste Volkmar et les fils de Sigmar chargent les décimés et les balayent.
Le canon touche Mannfred... Et échoue à le blesser. Les sorts qu'il parvient à faire passer le régénèrent.
Les rôdeurs massacrent les balles d'Argent et se positionne pour menacer le marteau à Sorcières.
Volkmar décide que ça suffit. Il charge Mannfred. Les touches d'impact, le feu de l'âme et les attaques des chevaux le blessent gravement ainsi que les loups, mais c'est bien un coup de bâton de commandement qui lui ôte son dernier point de vie. Le canon tire à mitraille sur les squelettes, mais l'armée commence à s'effondrer. Seuls restent les vargheists qui massacrent les servants du canon.
Conclusion
C'est une bien belle campagne. Le fait de nommer le moindre régiment, le moindre membre d'état-major lui donne beaucoup de texture. Vivement la suite
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